Dans cet article :

    Netlinking : à elle seule la source d’un lien ne le rend pas toxique

    Le netlinking est une arme à double tranchant : bien qu’il puisse alimenter une stratégie SEO et améliorer le positionnement d’un site dans les résultats naturels, il peut aussi ne pas avoir l’effet escompté. Cela peut arriver  notamment à cause de personnes mal intentionnées (souvent des concurrents) qui utilisent les techniques du SEO pour plomber le référencement naturel de leurs rivaux. Cela s’appelle le negative SEO. Une des techniques du negative SEO c’est de créer des backlink en masse et non pertinents redirigeant vers le site concurrent. Ce genre de technique a en effet des conséquences désastreuses pour le SEO (chute du trafic) puisque Google le sanctionne, même si les actions proviennent d’une tierce personne.

     

    Le domaine référent peut-il, à lui seul, rendre un lien toxique?

    Il y a quelques jours un internaute a interpellé John Mueller (webmaster Trends Analyst chez Google) en lui demandant :

    “Si un site Web obtient des liens de sites couvrant plusieurs catégories, cela nuit-il au référencement du site Web ? Par exemple: un blog de technologie obtenant des liens depuis un site qui couvre les technologies, le business, le divertissement, le sport, etc.”

    John Mueller a alors sous-entendu que la source du lien à lui seul ne faisait pas de ce lien un mauvais lien. En revanche, il a demandé si le propriétaire de la destination du lien avait placé le lien lui-même sur la source. Il sous entend ainsi que la source du lien n'est pas le seul critère utilisé pour définir si un lien est mauvais.

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    Google examine-t-il la source du lien ou la destination ?  

    Google avait précisé, il y a près de deux ans, que l’algorithme de Google Penguin examinait la source du lien et non la destination. Alors, est-ce que Penguin peut déterminer comment le lien est arrivé sur cette source ? Peut-il savoir si vous avez personnellement ajouté le lien à cette source ?

    Cela reste encore flou et ce type de questionnement alimente le débat autour du negative SEO. Est-ce que Google peut détecter les modèles de negative SEO ?

    Alors, que pensez-vous de la dernière déclaration de John Muller sur les sources de liens et l’intention de ce lien ?

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    L'auteur
    Stephanie Faisandier
    Stephanie Faisandier

    Curieuse, un brin perfectionniste, mais surtout passionnée… Je suis en charge de l’Inbound marketing chez PumpUp depuis 2018. Toujours à l’affût des dernières tendances, j’effectue une veille active dans le monde du web et décrypte l'actualité afin de vous proposer les meilleurs contenus.

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